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| | | (M) JAMIE DORNAN Δ to turn it all around or throw it all away - RESERVE |  |
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 H. Siobhàn Falk-Lawson
MESSAGES : 339
LANGUE(S) PARLÉE(S) : anglais, italien, un peu de français.
 | | Sujet: (M) JAMIE DORNAN Δ to turn it all around or throw it all away - RESERVE Mer 4 Juil - 23:01 | |
| nom, maverick prénom² | Identité ◐ nom libre. ◐ prénom(s) Maverick, 2è prénom libre. ◐ âge vingt-sept ans. ◐ date de naissance libre. ◐ lieu de naissance libre. ◐ sexe masculin, on dirait bien. ◐ nationalité australienne. ◐ origines libre. ◐ métier/activité messager, « facteur » intrépide. ◐ qualités boute-en-train, dynamique, futé, intrépide, loyal, observateur. ◐ défauts prétentieux, antipathique, hautain, fier, tête brûlée, violent. ◐ groupe colons. Histoire L'histoire est particulièrement libre, si ce ne sont quelques passages évoqués dans ma fiche. Il a vécu quelques années dans un orphelinat avant d'être adopté, et s'est installé en Australie avec sa famille adoptive. Très bien éduqué, il n'en est pas moins excellent élève et souhaitait entrer dans une grande université américaine pour ses études supérieures. Hautain et fier, il se penserait presque parfait et n'hésite pas à se mettre en valeur dans ses paroles. Il reste néanmoins de bonne compagnie quand il est de bonne humeur, appréciable, enjoué. Il a rejoint le navire du père de Siobhàn un mois après la catastrophe. Il s'était réfugié sur un bateau avec d'autres individus, et alors que les équipages des deux navires se rencontraient, un troisième est arrivé en les attaquant. Seuls rescapés, Siobhàn et Maverick sont restés plus ou mois six mois sur l'océan, avant de rejoindre la plateforme. Relations   Maverick & Siobhàn Tous deux se sont rencontrés sur de mauvaises bases, adolescents, confrontés à une catastrophe sans précédent, ils ont vite été amenés à se débrouiller seul avec la perte de leur équipage. Ils passent six mois en mer, dans le voilier de Siobhàn, et se partagent les tâches. Ils mettent du temps à s'entendre, s'apprécier, moins à commencer à se chamailler. Un soir, ils finissent par en venir aux mains, et leur relation a changé du tout au tout. Maverick et Siobhàn sont à la fois très proches, et distants. Ils s'aiment étrangement et nul doute que chacun serait prêt à tout pour l'autre. Pourtant, ensemble, ce n'est pas toujours chose aisée. Ils ont tous les deux un caractère fort, une personnalité qui les amène à hausser la voix de nombreuses fois. Et, surtout, sont incapables de rester trop longtemps ensemble. Là est l’ambiguïté du phénomène. Ensemble, ils sont voués à l'autodestruction. Ils ne tiennent pas en place, l'un agace vite l'autre, et cela peut vite déraper. Or, ils tiennent véritablement l'un à l'autre, et préfèrent apprécier les courts moments où ils se voient, que de rester inséparables. Une complexité qui renforce la force dans laquelle ils baignent ensemble. D'autre part, Maverick fait parti de ces messagers qui n'ont pas peur de remettre des messages à n'importe qui, quelque soit la distance, et requiert souvent l'aide de Siobhàn et son bateau pour le trajet, surtout quand il faut se rendre sur le territoire pirate. |
Dernière édition par H. Siobhàn Falk-Lawson le Ven 13 Juil - 14:57, édité 1 fois |
| | | | H. Siobhàn Falk-Lawson
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| | Sujet: Re: (M) JAMIE DORNAN Δ to turn it all around or throw it all away - RESERVE Mer 4 Juil - 23:02 | |
| Scénario terminé & libre. Merci de t'intéresser au scénario, si tel est le cas.     J'y tiens particulièrement, parce qu'autant Maverick fait parti du passé de Siobhàn, autant il n'est pas fermé à toute évolution pour lui et envers mon personnage. Et si jamais il est intéressant au point d'être pris, un temple à votre effigie ne serait pas suffisant pour montrer l'ampleur de ma gratitude  /out. Reconnaissance éternelle, chocolat à gogo, et ma joie immense en récompense.    DÉTAILSCe scénario est particulièrement important pour Siobhàn, comme elle-même le serait pour Maverick. J'estime qu'ils ont chacun une place importante dans la vie de l'autre, assez pour influencer celle-ci. J'aime la complexité, et c'est pour ça que je ne recherche pas de relation toute simplette dont on connaitrait par avance comment ça finirait. Aucune relation de couple n'est attendue, mais rien ne les empêche d'être déjà sortis ensemble ou d'avoir eu quelques histoires d'un soir après quelques verres, vous voyez le truc. S'ils sont assez proches pour critiquer les relations de l'autre, être jaloux, ou tout ce qui peut s'apparenter à une attirance du genre, ils ne sont pourtant pas fait pour être ensemble. Ils ne le seront pas. NÉGOCIABILITÉLe prénom Maverick est non-négociable, notamment parce que je l'apprécie mais aussi parce qu'il apparait de nombreuses fois dans ma fiche. Néanmoins, le prénom et le nom restent libres, sachant qu'il est toujours possible d'user du second prénom comme "pseudo" : au lieu que ce soit Maverick P. Nom (ou P. Maverick Nom), ça peut être M. Prénom² Nom, si jamais le prénom choisi ne vous plait vraiment pas. Si vous voulez également taper dans l'originalité pour le pseudo, n'hésitez pas. En ce qui concerne l'avatar, si Garret ne vous convient vraiment pas, je suis ouverte à d'autres propositions. Dans ce cas, il faut que l'homme proposé coïncide véritablement à la tranche d'âge, c'est peut-être bête mais j'apprécie ce détail.  Également, il faut qu'il colle au caractère du personnage, espiègle, décontracté, peut-être bad boy, avec cette touche de fierté, vous voyez le truc ? > La célébrité a été changée en Jamie Dornan.  JOUEURLà, franchement, je n'ai rien à dire de plus que ce que cherche n'importe qui pour son scénar. Quelqu'un de motivé, et qui ne se montrera pas membre fantôme au bout de deux semaines/un mois, qui sait écrire un tant soit peu, qui aime rp. J'aimerais que Maverick soit entre les mains d'une personne qui saura se l'approprier et jouer avec pour le plaisir, et non pas par contrainte ou pour me faire plaisir.  - passage de fiche:
La jeune fille ramena ses cheveux en arrière, les nouant avec un foulard. Le soleil, malgré le temps, l’écrasait. Elle avait fini par s’habituer au vent, et menait la barre d’un naturel décontracté. Devant elle, un jeune homme arrangea les voiles, jouant de ses muscles et de son adresse, puis vint s’assoir à côté d’elle. Leur rencontre datait d’une dizaine de jours, et ils ne s’étaient jamais réellement adressés la parole. Le temps nécessaire pour que chacun pansent ses blessures un minimum, n’échangeant que des banalités et continuant de naviguer. Ainsi, la première question empreinte d’un réel intérêt la désarma quelques secondes. « Comment tu t’appelles ? » Hilda. Faux. Ce prénom sonnait si creux désormais qu’elle se sentit prise au dépourvu. Hilda. Le souvenir de son père l’effleura, et elle prit la peine de fermer les yeux quelques instants avant de répondre. Dix jours plutôt, alors qu’ils rencontraient l’équipage de son nouveau compagnon, ils avaient été attaqués par un autre, dont la survie les avait amenés à détruire. Deux survivants. Hilda. Définitivement impossible. « Siobhàn. » « Pourtant j’ai entendu ton pè- » « C’était avant. » « Moi c’est- » « Maverick, je sais. » « ‘Couper la parole aux gens’, c’est ton second prénom ? » L’adolescente sourit au ciel, à la nouvelle aventure qui naissait des cendres. Des jours, des mois, Maverick et Siobhàn contre le monde. Apprendre à se connaître, à s’apprécier, à se maudirent, à s’entraider, à s’ignorer. « Tu viens d’où ? » « L’Austra- » « Eh, la même ! » Sourire ironique. « Je croyais être celle qui coupait la parole. » « Du calme, ma vieille. On inverse les rôles un peu. » Assis côte à côte, les pieds dans le vide, le regard bien au-delà de l’océan infini. Les traits émaciés, l’air pourtant serein. La demoiselle tourna la tête vers son désormais ami, se prêtant au jeu des questions personnelles, terrain qu’ils avaient toujours tenu éloigné jusqu’alors. « Parle-moi de toi. » Maverick lui lança un regard étonné, puis laissa échapper un sourire malicieux avant de retourner dans sa contemplation de l’horizon. « J’ai été adopté quand j’étais gosse, j’ai jamais connu mes parents. J’ai fait le tour du monde, tout en habitant principalement à Sidney. J’étais pas mal, bon élève, capitaine de l’équipe de foot, pas mal de copines. Je voulais intégrer une université aux Etats-Unis ou en Angleterre. J’ai jamais eu le temps de retrouver mes véritables parents, et j’ai perdu les autres. » Silence gêné, que l’adolescent rompit en tapant amicalement de son poing dans l’épaule de sa camarade tout en souriant. « Puis j’ai rencontré un chimpanzé exécrable ! À ton tour. » « Haha. Le chimpanzé a très bien vécu socialement, tu sais. Et civilisé ! » « Je n’en doute pas. » « Bon. Mes parents ont divorcé dans ma jeunesse, mon père m’a gardé et ma mère est partie avec ma sœur jumelle. J’avais un frère aussi, mais il a quitté très tôt la maison et on ne l’a plus revu. Il m’a appris à surfer, et je n’ai jamais arrêté depuis. J’étais bonne élève aussi, mais plutôt du genre à taper sur ceux qui faisait tomber mon plateau repas plutôt que rejoindre l’équipe de pompom girl. » « En tout cas, tu tapes comme une fillette. » Ils se fusillèrent du regard, avant d’éclater de rire à l’unisson. « Et naviguer, tu l’as appris où ? » Siobhàn haussa les épaules avec désinvolture, mais difficile de tromper l’émotion dans sa voix. « Mon père. » Maverick détourna son regard pour le poser à nouveau sur elle, gardant le silence, par respect. Pour lui laisser trouver ses mots, qu’elle réponde ou change de conversation. « Il possédait déjà le Miscellanea à ma naissance, et j’ai très vite voulu apprendre. » « Il serait fier de toi, tu sais. » La jeune fille sourit, mais ne répondit rien. Dans cet enfer, tous avait trop perdu.
Chacun dorloté dans leur jeunesse, l’adaptation fut rude. Trouver de la nourriture, s’abriter, s’entraider, survivre. À seize et dix-sept ans, cette vie paraissait sortir droit d’un livre de science-fiction. Si, au début de leur relation, ils se montraient courtois l’un envers l’autre, les semaines qui défilèrent rétablirent leur personnalité mordante. Leur existence menée sur le bateau, le fait de tourner en rond, l’inquiétude et la mélancolie les empêchant de dormir, l’impossibilité de manger à leur faim, agrémentèrent le tout d’une touche acidulée d’exaspération constante. Les nerfs à fleur de peau, les deux compagnons commencèrent à ne plus pouvoir se supporter, chacun vacant alors à ses tâches sans se soucier de l’autre. Siobhàn accoudée au bastingage, scrutait l’étendue sombre qui s’étalait sans limite. La nuit était tombée, et le ciel étoilé semblait ne faire plus qu’un avec l’océan. « Tu penses qu’on est où ? » Maverick s’était approché, silencieux, mais pas assez pour qu’elle ne le remarque pas. « Afrique ? Russie ? France ? » Songer à toutes ces civilisations dorénavant engloutie lui apporta un pincement au cœur. Les sites archéologiques, les plus beaux monuments historiques, les bibliothèques, les églises, le cœur de l’histoire avait rejoint le fond marin. Avec des milliers et des milliers de personnes, tout âge confondu. Une situation sans précédent, qui l’amenait à songer à tous ces films évoquant le sujet. « Le monde entier est devenu Atlantide. » Doux murmure qui s’évapora dans le vent, avant qu’elle ne soit tirée brutalement de ses pensées. « Que .. Maverick ? » Le jeune homme lui faisait face, la tenant fermement par le col de sa veste, l’air hargneux. Déterminé. Méconnaissable. « Qu’est-ce qu'il y a ? Lâche-moi, tu me fais mal. » « Elle est où ? » Dire qu’il lui avait presque craché au visage en proclamant sa question d’une voix dure était un euphémisme. L’adolescente posa ses mains sur les poignets de l’australien, tentant de se dégager. La situation lui échappait complètement, pire, elle ne comprenait rien. Maverick resserra son emprise et la secoua, répétant sa question d’une voix toujours plus forte. « Elle est où bordel ? » « Mais de quoi tu parles ! » Un cri entre la question et la plainte, elle n’était guère encline à se faire traiter de la sorte. Bon Dieu qu’il pouvait l’agaçait, mais jamais il n’en était venu aux gestes. La lueur qui dansait dans ses prunelles ne la rassurait guère non plus, il semblait avoir perdu toute maîtrise de sa raison. Fou. Il était complètement fou. « La boîte ! » « La boîte ? Je … Aïe, arrête. Je ne sais pas ! » Des deux, Maverick était celui qui possédait le plus d’objets personnels, il avait débarqué avec un coffret de taille modeste, qui contenait de nombreuses choses qu’elle n’avait jamais eu le loisir d’approcher. Et c’était certainement à ça qu’il faisait référence de façon peu conventionnelle. « Tu m’as interdit d’y toucher, qu'est-ce que j'en aurais fait ? » Les lèvres serrées, la mine consternée, le regard aussi sauvage que son bourreau, Siobhàn le dévisageait à son tour d’un air mauvais. « Parce que t’es une minable petite voleuse ! » « … Pardon ? » La remarque le déstabilisa, l’accusation encore plus. Que pouvait-elle voler au juste, de l’eau ? Haha. Le comique. « T’as volé mes affaires, parce que tu n’as rien pour toi. T’es jalouse en fait, t’as rien gardé de ton ancienne vie. » La claque qu’elle lui assena retentit dans l’espace comme si seule son existence comptait. Une seconde, puis deux, et l’emprise se desserra subtilement sous l’effet de la surprise. La jeune fille le repoussa avec force et recula, s’emmêlant les pieds dans des cordes posées au sol en voulant reculer sans regarder où elle mettait les pieds. Elle tomba lourdement au sol, une douleur se diffusant dans son charmant fessier qui avait amorti sa chute, tandis que Maverick portait la main à sa joue, balbutiant des mots qu’elle ne comprenait pas. Le temps paraissait avoir freiné sa course, cessant de s’écouler, alors que l’incrédulité imprégnait le visage des deux adolescents. « Qu’est-ce que t’as ? » « Tu déconnes ? T’as vu comment tu m’as traité ? Et tu me demandes qu’est-ce que j’ai ? » Elle hurlait presque, rageuse, stupéfaite. « La ferme, j’te parle de ça. » Elle ouvrit la bouche pour protester à l’ordre négligé de se taire mais se contint, suivant du regard ce qu’indiquait son camarade du menton. Dans sa chute, sa veste et son tee-shirt étaient légèrement remontés sur son ventre, laissant entrevoir une fine trace blanche qui disparaissait le long de sa hanche. « Rien. » Il feint un pas dans sa direction, mais le regard qu’elle lui jeta lui dissuada d’avancer plus. Siobhàn se releva, réajusta ses vêtements maltraités et le toisa d’un air de défi. Qu’il recommence, qu’il la retouche. Ce serait la dernière fois. « Je suis sérieux. » Elle se pensait lunatique, il était pire. Bipolaire, peut-être. Constater que ses traits étaient de nouveau sereins lui fronça les sourcils, en l’espace de quelques secondes il avait changé du tout au tout. Elle accordait les accès de paranoïa, elle-même pétant des câbles de temps en temps en psalmodiant des paroles incompréhensibles alors que Maverick essayait de la calmer. Il avait dérapé, et elle ne savait si elle devait lui pardonner ou s’inquiéter d’avantage. « Le jour de la catastrophe, je surfais quand c’est arrivé. Je suis tombée dans les rochers. » Il y a soixante secondes, il menaçait de la faire passer par dessus bord ou de l’étriper, maintenant elle lui répondait comme s’il ne s’était rien passé autre que des banalités. Ils avaient très certainement touchés le fond. Un grésillement les fit sursauter, et tous deux se tournèrent vers la cabine. Méfiants. « C’était quoi ? » « Qu’est-ce que j’en sais ? Aucun appareil ne fait de bruit … La radio ? » « Je croyais qu’elle ne marchait pas ? » « Elle est censée ne pas fonctionner. » Sa phrase s’achevait qu’une nouvelle, plus distance, plus sourde, se faisait entendre. « … sommes là. Vous n’êtes pas seuls. Il y a une île … » Comme un seul homme, ils se jetèrent dans la cabine.
Dernière édition par H. Siobhàn Falk-Lawson le Ven 13 Juil - 14:57, édité 1 fois |
| | | |  N. Maverick Wheland
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| | | | | H. Siobhàn Falk-Lawson
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| | Sujet: Re: (M) JAMIE DORNAN Δ to turn it all around or throw it all away - RESERVE Jeu 5 Juil - 23:09 | |
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| | | | N. Maverick Wheland
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| | Sujet: Re: (M) JAMIE DORNAN Δ to turn it all around or throw it all away - RESERVE Jeu 5 Juil - 23:43 | |
| En effet, je doute que ce soit possible. 
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| | | | | | Sujet: Re: (M) JAMIE DORNAN Δ to turn it all around or throw it all away - RESERVE | |
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| | | | | | (M) JAMIE DORNAN Δ to turn it all around or throw it all away - RESERVE | |
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